Nous avons tous deux reçu une éducation artistique à l’étranger pour un certain nombre d’années avant de se retrouver à Genève en 2001, où nos expériences contrastées nous ont amenés à développer un intérêt pour les études spatiales.
Nos constructions transforment l’espace, transformant les frontières intérieures et extérieures à l’envers et à jouer avec la perception d’une réalité subjective. Ils exigent la participation active des visiteurs, de les mettre dans la position d’être un explorateur. Ces environnements se décomposent habitudes visuelles et intellectuelles, tester les explorateurs et les obligeant à faire confiance à leurs sens. Souvent comparé à des cocons ou des terriers, ces installations abritent pouvoirs frappantes. Ils provoquent des réactions émotionnelles ambiguës visiteurs, comme les rêves qui se mêlent curiosité, la surprise et l’inconfort.